En remontant vers les montagnes du Nord, nous parvenons dans la région des trois lacs où le climat frais et brumeux contraste avec celui chaud et humide des plaines du Sud.
Chaque matin, nous nous levons aux aurores pour profiter du soleil avant la venue fréquente sinon inévitable des nuages et de la pluie. Le classique petit scooter en main, nous partons en direction de la ville de Jatiluwih et crapahutons dans ses magnifiques rizières en terrasses. Nous croisons des femmes aux chapeaux coniques qui récoltent le riz à la main et qui nous saluent chaleureusement lors de notre passage.
En balinais, la signification de « vraiment merveilleux » pour Jatiluwih prendrait tout son sens si nous étions dans la saison des pluies, lorsque l’intensité des différents tons de verts est à son paroxysme.
Au retour et par malchance, la roue arrière du scooter crève mais c’est sans compter sur notre cul bordé de fried noodles (ou nouilles sautées) que l’on tombe exactement en face d’un garage qui nous répare la roue le temps de visiter le mystique temple sur l’eau du Pura Ulun Danu.
On goûte à l’une des spécialités locales, le fameux Babi Guling ou cochon de lait aux épices cuit à la broche. Sur la route, nous ramassons un jeune chiot prêt à se faire écraser et le remettons à une famille de commerçants. Une bonne action qui ne l’empêchera pas de finir à la broche à son tour. En effet, au nombre de chiens aperçus écrasés, leur considération pour l’espèce canine semble plutôt dérisoire.
Bizz !!
Classique, c’est le garagiste qui balance des clous devant sa boutique jeunes pigeons!
Sinon avec toute cette verdure il devrait y avoir un golfe, nen? Pas un peu marre des paguodes?
Nous qd on a été chez les vietcongs on en trop bouffé de la paguode, de l’hôtel des génies ou ds ancêtres (même chose).
Gros bisous!
Figure-toi qu’il y avait effectivement un golf, j’avais bien envie de taquiner de la balle dans les hauteurs de Bali mais l’appel de la 47ème pagode du voyage a été plus fort !
Biz mon chevelu !
OMG, lisant la triste histoire du chien la larme à l’oeil et fière de votre initiative, c’est choquée que j’ai l’image du chiot embroché qui se grave dans mon esprit … ces paysans me surprendront toujours !! hihihihi
Vous me manquez fort les poulets !!!
Je vous suis toujours avec autant de plaisir 🙂
Gros bisous !!!
Je reconnais bien là ton amour inconditionnel pour la race canine !
Plein de bisous ! Et ravie de voir que tu continues à nous suivre 😉